Préparez votre mois de mars en mettant à l’honneur la culture ! Au programme 8 spectacles.
1 mars à 20h30 : 66 jours
Été 2018, c’est la Coupe du monde de football, Théo Askolovitch a 20 ans et apprend qu’il est atteint d’un cancer. Avec humour et générosité, ce seul en scène nous montre que les combats les plus intimes sont souvent les plus universels
Un spectacle de et avec Théo Askolovitch
3 mars à 16h : La forêt ébouriffée
Fuyant sa famille et ses camarades, un jeune garçon nommé Racine se réfugie dans une forêt fantastique pour échapper aux autres. Commence alors pour lui un voyage initiatique ponctué de rencontres inattendues qui vont l’aider à grandir et à se connaître.
Un texte de Mélusine Thiry et une chorégraphie et scénographie de Christian et François Ben Aïm
8 mars à 20h30 : L’enfant de verre
La pièce “L’enfant de verre” raconte l’histoire de la famille Kilvik, dont le royaume de verre semble parfait de l’extérieur mais cache des secrets. L’arrivée d’une présence mystérieuse dans la maison va ébranler les fondations de cette famille construite sur le non-dit.
La pièce “L’enfant de verre”, interprétée par sept acteurs, explore un huis clos libérateur où les personnages confrontent leurs vérités cachées Magnifique quête du courage de dire, la pièce puise son inspiration dans un sujet qui nous concerne tous : la famille, ses secrets et ses non-dits.
Un texte de Léonore Confino et Géraldine Martineau et mise en scène de A.Batis
14 mars à 20h30 : Alex Vizorek Ad Vitam
L’humoriste belge aborde cette fois-ci la thématique à la fois la plus complexe et la plus universelle mais surtout la plus grande obsession des vivants : la mort. Alex Vizorek nous propose donc d’évoquer la mort, grande faucheuse ou petite mort, sous tous les angles : biologique, culturel, philosophique et il n’hésite pas à s’appuyer sur de grands penseurs, d’Épicure à Montaigne, sans esprit de sérieux. Dans un humour plein d’élégance et de finesse, il nous offre un spectacle qui est d’abord et avant tout un hymne à la vie.
Un texte d’Alex Vizorek et une mise en scène de Stéphanie Bataille
15 mars à 20h30 : Le choeur des femmes
Le texte présente Jean Atwood, une brillante interne en médecine, affectée à un service de gynécologie. Elle y rencontre un chef de service aux idées novatrices qui remet en question sa perception des relations avec les patientes. L’adaptation théâtrale accorde une importance particulière aux témoignages, créant un chœur de femmes dont les récits personnels résonnent avec les expériences du public. La pièce explore également les désaccords entre médecins sur leur pratique, ainsi que l’évolution de la relation entre le médecin et le patient, passant de l’autorité à l’empathie. Jean doit remettre en question ses préjugés et sortir du spectacle avec une conscience renouvelée sur les sujets souvent passés sous silence.
Une adaptation de Violaine Brébion, d’après une adaptation du roman documentaire Martin Winckler
Le 22 mars à 17h00 et le 23 mars à 14h30 et 17h00 : Like me
Like me est une immersion, non pas dans le grand bain, mais dans une piscine et dans le monde de Simon. Habitué à endurer la pression, l’athlète décrit les préparations, les entraînements et aussi les sacrifices pour atteindre ses objectifs. Il revient également sur ces images qui ont inondé le web : celles d’une noyade puis d’un sauvetage.
Un texte de Léonore Confino, conçu par Simon Dusart et Pauline Vanlancker et mis en scène par Pauline Vanlancker
24 mars à 16h : IT Dansa
Dix-huit danseurs fougueux, en pleine maîtrise de leur art et promis à une grande carrière, présentent un programme flamboyant de trois pièces
Au programme :
Twenty Eight Thousand Waves de Cayetano Soto qui promet une échappée onirique en haute mer. Ensuite, Changement d’ambiance avec Lo Que No Se Ve de Gustavo Ramírez Sansano où les danseurs traversent l’univers intime des relations de couple . Enfin, avec Minus 16, pièce emblématique d’Ohad Naharin, ils donnent toute la place à l’explosion du mouvement sur des musiques traditionnelles israéliennes et cubaines.
Une chorégraphie de Ohad Naharin
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28 mars à 20h30 : Insuline et Magnolia
Et si une rencontre pouvait nous sauver ?
Stanislas a 15 ans quand il apprend qu’il est atteint d’un diabète insulino-dépendant. Entre les piqures régulières, le régime alimentaire restreint et la peur qui rôde, l’avenir s’annonce contraint pour l’adolescent. C’est sans compter sa rencontre avec Fleur qui sonne comme une renaissance pour le jeune homme. Dans une écriture riche et sensible, Stanislas Roquette nous conte son histoire, sa confrontation à la maladie, devenue secondaire, transcendée par la rencontre avec l’autre et la magie des mots. Insuline et Magnolia est un hymne à l’amitié et à la poésie dans tout ce qu’elles nous offrent en puissance de vie.
Un texte et une interprétation de Stanislas Roquette